Le recours à la sorcellerie peut revêtir bien des aspects peu recommandables : invocations de démons, exorcismes, nuisances diverses, voire la nécromancie (invocation ou résurrection des morts). Mais il est une matière, « l’art notoire » qui naît vers le XIIe siècle, dont les objectifs sont bien différents : obtenir la Connaissance, et par-delà, se rapprocher de Dieu.
Avant dernier volet de notre dossier consacré aux rapports de l’Eglise médiévale avec les pratiques magiques ou divinatoires (pour relire le précédent, c’est ici), un article signé Christine Duthoit. La singularité de l’art notoire, un article à télécharger librement en cliquant sur ce lien.
Bonne lecture, et rendez-vous vendredi prochain pour la sixième et dernière partie de ce dossier.
Alchimiste tenant un flacon. Le phylactère précise : « Partons a la recherche de la nature des quatre éléments ». Il s’agit d’une des 22 planches du traite d’Alchimie « Splendor Solis » (Toyson d’Or) de Salomon Trismosin, alchimiste germanophone. 1582. British Library, Harley 3469 fol 4.
1. Radu Sorescu - Petre Tutea. Viata si opera 2. Zaharia Stancu - Jocul cu moartea
3. Mihail Sebastian - Orasul cu salcimi
4. Ioan Slavici - Inchisorile mele
5. Gib Mihaescu - Donna Alba
6. Liviu Rebreanu - Ion
7. Cella Serghi - Pinza de paianjen
8. Zaharia Stancu - Descult
9. Henriette Yvonne Stahl - Intre zi si noapte
10.Mihail Sebastian - De doua mii de ani
11. George Calinescu Cartea nuntii 12. Cella Serghi Pe firul de paianjen…
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